Comprendre le BDSM
Le BDSM est un acronyme qu’on entend beaucoup dans le thème du sexe, néanmoins peu le comprennent vraiment. Cela représente une pratique sexuelle voire une culture.
Le BDSM décrit un ensemble de sensations, de modèles de comportement et de pratiques se manifestant dans les relations intimes et dans les pratiques sexuelles. C’est un fantasme récurrent autant chez les hommes que chez les femmes, car on compterait 47 % des femmes et 60 % des hommes ayant fantasmé sur du BDSM.
En bref, le BDSM est soumis à beaucoup d’a priori qui projette la pratique dans une sorte de tabou et de caractère déviant. Pourtant, il a été démontré que c’est un fantasme et une pratique très courante permettant de visiter et de renouveler sa sexualité autrement.
Pour le pratiquer, il faut donc comprendre en quoi cette pratique consiste et éliminer tout doute. La rédaction Cenezio s’est donc réunie pour vous préparer un guide et des explications sur le BDSM. C’est parti pour comprendre le BDSM !
L’histoire du BDSM
Le BDSM existe depuis très longtemps, mais a évolué au cours du temps. Il n’avait évidemment pas le même nom et la pratique n’était pas la même que ce qu’il peut se faire aujourd’hui.
Dans les temps plus anciens, nous avons plein de preuves que la douleur physique était un stimulus érotique avec par exemple de l’art et des textes de la Grèce Antique et de Rome.
Le Kamasutra contient aussi des éléments BDSM. Ce texte sur la sexualité écrit en Inde il y a environ 2 000 ans, contient 6 endroits appropriés pour frapper une personne avec passion et comment le faire.
Le marquis de Sade, un aristocrate français qui a vécu de 1740 à 1814, a écrit une variété de romans érotiques et de nouvelles impliquant d’être battu et de battre les autres. Finalement, le nom de l’auteur a donné naissance au terme « sadisme ».
De même, le terme «masochisme» est dérivé du nom du noble et auteur autrichien Leopold von Sacher-Masoch, dont le roman de 1870 Venus in Furs décrit une relation dominant soumis.
Un peu plus récemment, le BDSM s’est démocratisé avec des séquences au cinéma. Le film Cinquante nuance de Grey où l’on voit des scènes utilisant cette pratique a permis de donner une grosse visibilité à cette pratique.
Finalement, on observe un réel changement dans le BDSM aujourd’hui. Il n’y a plus cette violence qu’il pouvait y avoir avant ou du moins elle est moins présente. Maintenant, cette culture représente énormément de pratique et donc plus seulement la violence comme stimulus érotique.
Bien que des éléments du BDSM soient pratiqués depuis des centaines d’années, la culture BDSM moderne a évolué à partir du mouvement «cuir». La scène du cuir est née avec des soldats rentrant chez eux aux États-Unis après la Seconde Guerre mondiale, dont beaucoup se sont engagés dans la culture des motards.
Composé principalement d’homosexuels et de quelques femmes, le mouvement du cuir s’est développé dans les grandes villes américaines. Depuis lors, l’intérêt pour le BDSM s’est répandu dans tout le pays auprès de personnes de tout genre et de toute orientation sexuelle, en grande partie grâce à Internet.
Le BDSM apparaît plus fréquemment dans les médias grand public maintenant. Le très populaire Fifty Shades of Grey n’en est qu’un exemple. Cependant, les archéologues ont découvert des représentations érotiques d’activités BDSM remontant aussi loin que le 5eme siècle avant JC.
L’idée générale derrière le BDSM est que deux partenaires s’engagent dans des rôles où un joueur est généralement un soumis qui reçoit de la douleur ou est en servitude ou rend des services à l’autre, une personne dans un rôle dominant qui prolonge les douleurs et les punitions ou met le soumis en servitude ou oblige le soumis à lui rendre des service, ou cela peut être une combinaison de ces choses.
Pendant de nombreuses années, l’intérêt pour le BDSM a été considéré comme malsain ou même classé comme une maladie mentale. Cependant, ce n’est plus le cas, et même les professionnels de la santé mentale reconnaissent que le BDSM peut être corrélé à un bien-être subjectif plus élevé, que l’intérêt pour celui-ci n’est pas malsain et qu’il peut être pratiqué en toute sécurité. Certains sont même venus à l’idée que le BDSM pourrait être thérapeutique.
En résumé, le BDSM a énormément changé et évolué. Cette pratique apparaît de plus en plus comme une pratique courante et décrite comme une pratique sexuelle totalement acceptable. Lire aussi : Guide BDSM.
BDSM est-il lié à de la violence ?
Un défaut commun dans la compréhension des personnes extérieures à la communauté BDSM est que les praticiens BDSM se livrent à la violence parce qu’ils sont tombés sur des photos ou des vidéos de quelqu’un qui est frappé (généralement avec un fouet ou un fouet). Les gens associent les nouvelles à quelque chose qu’ils ont déjà vu. Dans ce cas, ils ont le plus souvent vu une personne ligotée dans un film d’action, où la victime était retenue contre son gré, battue, violée, tuée – tous des actes de violence. Il est naturel, de ce point de vue limité, que les gens aient peur de l’association avec le BDSM dans leur tête. Les non-initiés pensent souvent que le jeu BDSM avec une personne liée se passe sans que la personne liée n’ait droit à la liberté et c’est pourquoi beaucoup refusent de réfléchir à l’idée de participer à toute pratique BDSM.
C’est pourquoi il faut bien dissocier violence et BDSM. Cette pratique consiste d’abord dans un plaisir mutuel avec votre partenaire. Là où avant l’on pouvait avoir des doutes sur la nature de cette pratique notamment dans l’antiquité, aujourd’hui il n’y a plus du tout cela. Le BDSM, c’est un consentement mutuel qui permet de ne pas dépasser la limite de votre partenaire.
Le BDSM n’est pas seulement une affaire de top ou de dominant utilisant un soumis pour son plaisir ; bien que cela puisse parfois ressembler à cela de l’extérieur. Un dominant est responsable de la sécurité de son soumis. En fait, certaines personnes soulignent qu’une scène qui implique de blesser quelqu’un ne doit pas lui nuire à court ou à long terme. La sécurité et le consentement mutuel sont au cœur de la communauté BDSM.
Dans la plupart des cas, le consentement est apparent bien avant le début de toute scène BDSM. La négociation comprend souvent des mots sûrs, que vous découvrirez plus tard, et des activités qui ne vous intéressent pas. Une personne qui refuse de négocier ou ignore ces accords peut être un agresseur, mais l’abus n’est pas un élément du BDSM en général. Heureusement, ces personnes du BDSM veillent souvent les unes sur les autres et fournissent des conseils et, dans certaines situations, des protections contre des personnes comme ça.
L’abus doit donc être différencié du consentement. S’il y a abus, c’est qu’il n’y a pas consentement. Finalement, le BDSM repose entièrement sur cette dernière notion qui permet d’être au clair avec son ou sa partenaire.
Mais ce qu’il faut aussi comprendre, c’est que le BDSM n’est pas forcément de la violence, la pratique concerne énormément plus que de la violence. Il y a de nombreuses activités à faire sans forcément avoir recours à de la violence, donner un coup-de-poing ou des fessées. Le but est de renouveler sa sexualité avec un de vous deux qui dominera l’autre de la façon qui vous conviendra.
Pour définir cette limite avec ces envies, les professionnelles notamment dans les industries de la pornographie se donnent un mot de secours si jamais cela ne leur convient plus. Cette technique permet d’arrêter en cas d’abus et que la personne soumise ne soit plus du tout à l’aise. On garde donc toujours la notion de consentement au centre de la scène.
Les différentes types de BDSM
Il existe une multitude de pratiques liées au BDSM et donc cela ne concerne pas toujours une forme de violence. En général, une personne est un peu plus dominante et va gérer la scène. Le plus important est de comprendre ses envies et de réaliser ses fantasmes.
Le fétichisme
La définition la plus générale d’un fétiche est quelque chose (objet, personne, action, situation) qui apporte une excitation sexuelle à une personne. Le fétichisme est une condition suffisante (et pour certaines personnes nécessaires) pour être excité. Pour de nombreuses personnes, le fétiche est le corps (vision et forme générales, organes génitaux, seins, etc.) des personnes d’un sexe donné. Ceci est important du point de vue de la reproduction hétérosexuelle afin que vous puissiez vous exciter avec le bon partenaire. De ce point de vue, toutes les personnes qui parviennent à être excitées par quelque chose sont des fétichistes.
D’autre part, les gens développent toutes les sortes d’autres fétiches. Pour certains, ils sont simplement un ajout pratique à leurs fétiches standard axés sur la reproduction, tandis que pour d’autres, ils sont devenus une condition préalable à l’excitation. Selon certaines personnes, de tels fétiches se développent lorsqu’un homme fantasme longtemps de toucher quelque chose lié au sexe qui l’intéresse ou de se retrouver dans une situation excitante dans laquelle il trouve un élément sexuel – par exemple, se retrouver aux pieds d’une femme sexy et les lui donne. Touche ou est lié et impuissant entre les mains d’un partenaire avec qui vivre son fantasme. Il existe certainement d’innombrables autres variantes pour développer un fétiche alternatif. Nous sommes arrivés à la conclusion que les gens développent de nouveaux fétiches à la fois dans leur enfance et à l’âge adulte. L’important est que quelque chose avait enflammé leur imagination depuis longtemps.
Rejoindre notre club intime
Découvrez en avant première nos dernières merveilles et promotions mais aussi quelques surprises…
Le bondage
Ancestrale, la pratique du bondage est à l’origine un art pratiqué au Japon, et initialement destiné à être utilisé à des fins bien moins érotiques que le sexe. Le bondage japonais est en effet à l’époque une technique de torture qui se base sur le ligotage des victimes : la position ainsi entravée des prisonniers permettait de leur faire ressentir un inconfort plus ou moins extrême. À connotation répressive, le bondage japonais est peu à peu entré dans les mœurs sexuelles pour devenir une pratique BDSM source de plaisir sadomasochiste.
Le principe de base du bondage est simple : un partenaire attache l’autre, dont certains mouvements restent entravés pendant toute la durée du rapport sexuel, jusqu’à l’orgasme. Si le bondage prône l’art des liens, il n’est pas nécessaire de connaître les nœuds pour s’essayer au sexe attaché. De même, il n’est pas obligatoire de ficeler l’autre intégralement : les mains, les pieds ou les yeux bandés, à chaque couple le choix d’entraver les parties du corps de son choix. Enfin, il n’existe pas de règle en matière de lien : un ruban peut faire office d’attache, tout comme de la ficelle, une paire de menottes ou du ruban adhésif, plus ou moins serré selon la tolérance des amants et le niveau de soumission, plus ou moins soft, envisagé par les amants.
Le plaisir physique permet à la personne ficelée d’expérimenter son propre corps et sa faculté de transcender sa douleur par l’apprentissage du lâcher prise. Le plaisir psychique issu des regards alentour participe d’une exposition consciente et esthétisée venant renforcer son propre narcissisme (c’est l’une des fonctions du principe d’extimité). La pression des cordes tendues autour d’un sein ou d’une cuisse viennent par exemple manifester leur présence douloureuse autant que la subtile sensation d’une liberté de mouvement là où elles ne sont pas…
C’est un processus paradoxal d’exposition et de libération du corps par le biais de sa constriction, sa limitation. Le fait d’être attaché renverse les codes du quotidien et paradoxalement, donne aux adeptes une certaine forme de liberté. En étant attaché, le « dominé » n’a plus à jouer de rôle, ni à prendre des décisions. Son état de contrainte (cordes, menottes, combinaison en latex, corset, etc.) ouvre un cadre propice à la reddition psycho-corporelle. Le bondage contribue ainsi à la stimulation de l’imaginaire.
De la contrainte du corps naît la liberté de l’esprit. Voilà le grand paradoxe : le bondage libère au moyen de rituels aliénants.La cire
La cire, celle qui est produite par la bougie et non pas celle qui nourrit le bois, est fort appréciée dans les jeux BDSM. Mais on peut l’utiliser aussi comme simple adjuvant « d’accroissement sensoriel », car elle décuple vraiment les sensations sur la peau. Pour ce qui concerne la sécurité, notons tout de suite que la cire n’est pas dangereuse, à condition cependant de ne pas la faire couler de trop près, d’éviter les yeux, bien sûr, et de choisir une cire de paraffine qui fond vers 55 degrés, moins chauds que celle à base de cire d’abeille qui fond vers 62 degrés. L’accroissement sensoriel peut être obtenu, sans crainte aucune, par des bougies qui, en fondant, créent une huile de massage : double intérêt, puisque la légère brûlure, délicieux picotement ou « douleur exquise » (pour détourner un terme médical), est suivi par un apaisement dû à ces huiles parfumées, qui doivent être étalées avec douceur et sensualité…
La cire de bougie elle-même provoque non seulement des picotements (tout dépend de l’épaisseur et de la réceptivité du derme.), mais de vraies piqûres qu’on peut confondre avec des brûlures : douleur vive, qui s’estompe assez vite. Où est le plaisir spécifique ? Simple : alors que le martinet, par exemple, inflige une douleur sur une zone assez large, la bougie en inflige une dans une zone étroite et précise. De plus, elle se répète de façon identique. La maniabilité de la bougie permet de changer très vite, si on le désire, les zones d’atterrissage, et de varier les sensations.
Un conseil : pour tous les débutants, faites un test sur vous-même, afin de vous rendre compte du degré de chaleur. Ensuite, commence le jeu sur votre partenaire (qui aura, cela va sans dire, les yeux bandés !) en tenant la bougie loin de la peau, de façon que la cire refroidisse légèrement en tombant. Rapprochez vous ensuite… En prenant garde de ne jamais appliquer la flamme sur la peau, bien sûr.
Découvrir : Pourquoi ils aiment le bdsm ?
Privation sensorielle
La privation sensorielle est une pratique couramment utilisée en BDSM (et sensuelle sexy aussi) qui nous fait nous concentrer sur nos autres sens en nous privant d’un ou plusieurs sens. Par exemple, les yeux bandés sont couramment utilisés pour nous refuser la vue, mais cela nous oblige à compter sur le toucher, l’odorat, l’ouïe et le goût pour deviner ce qui va suivre. C’est une façon amusante de nous concentrer de manière non naturelle en raison de notre dépendance à l’égard des cinq sens. Si nous avons un bandeau sur les yeux, notre sens du toucher est plus intense, nous avons une plus grande profondeur dans notre capacité à entendre, notre sens de l’odorat est plus vif et nous pouvons goûter les choses à un degré plus élevé.
Le sens de la vue est la forme la plus courante de privation sensorielle, car la vue est le seul sens sur lequel nous comptons plus que tout autre. Nous avons déjà mentionné les yeux bandés, le numéro un pour les appareils en privation sensorielle. Il existe également des moyens de limiter la vision en se débarrassant de la vision périphérique, comme un cheval avec des œillères latérales. L’utilisation d’un masque réduit la portée de notre vision à ce qui est devant nous. Les hottes sont également un thème commun dans le BDSM. Ils sont parfaits pour limiter la vue et l’ouïe.
Le sens du goût ne peut pas vraiment être enlevé, mais nous pouvons le submerger en utilisant des aliments à la saveur intense. Les oignons, les amers, les bonbons acides ou le rince-bouche sont un excellent moyen de masquer le prochain goût détecté dans votre bouche. Le goût et l’odeur vont de pair. Donc, si vous vous bouchez le nez, le goût est légèrement entravé. Pour plus de plaisir, découvrez quelles parties de la langue détectent quelle saveur et la surchargez sadiquement. Les bonbons aigres extrêmes placés près du centre sur les côtés de la langue peuvent submerger quelqu’un jusqu’au point de larmes s’il est laissé assez longtemps.
L’odorat peut être bloqué simplement en bouchant le nez. Comme mentionné précédemment, cela affecte également le goût dans une moindre mesure. L’utilisation d’une capuche qui bloque la vue et le son en conjonction avec une pince à linge sur le nez forcera votre amoureux à concentrer toute son attention sur ce qu’il ressent sur sa peau. Cela intensifie à la fois le bien et le mal.
Les capuchons, les bouchons d’oreille et les écouteurs avec suppression du bruit ou musique forte sont tous d’excellents moyens de limiter l’audition. Pour vraiment utiliser l’audition à son meilleur effet, choisissez la même musique à utiliser maintes et maintes fois tout en vous amusant. Cela fait deux choses. Il bloque le son via une musique forte. Il entraîne également l’esprit et le corps à avoir soif de sexe ou de kink lorsque cette musique arrive. La musique électronique discordante a l’avantage supplémentaire de causer une confusion mentale à la perte d’audition. Cela est particulièrement utile pendant les scènes d’interrogation lorsque vous voulez que le soumis soit un peu confus et concentre son attention sur les autres sens.
Priver quelqu’un de son sens du toucher est un peu différent des autres sens. La peau est le plus grand organe du corps humain. La seule façon de diminuer efficacement le toucher est de créer une barrière (latex liquide, pellicule plastique) ou d’utiliser un anesthésique topique qui engourdit la peau. Les deux présentent des risques potentiels que vous devez surveiller (pression artérielle basse, allergies au latex, troubles épileptiques, etc.) avant de les utiliser.
Les bienfaits du BDSM
Des études récentes consacrées à la compréhension du BDSM et de ses effets sur le corps ont montré des résultats surprenants. Les chercheurs ont découvert que ces pratiques peuvent offrir un certain nombre d’avantages pour la santé. Ainsi, le BDSM peut allier santé avec plaisir et donc vous permettre d’être épanouie dans votre relation.
Amélioration de la santé mentale
Dans une étude, les chercheurs ont examiné les traits de personnalité, les styles d’attachement relationnel et le bien-être général des personnes qui se sont engagées dans le BDSM, contrairement à de nombreux stéréotypes populaires, l’étude a révélé que ceux qui se livraient à ces pratiques sexuelles étaient en fait, en moyenne, mieux adaptés que leurs homologues non pratiquants du BDSM.
Les personnes pratiquant le BDSM :
- Se sentaient plus en sécurité dans leur relation
- Étaient plus extravertis
- Avaient diminué l’anxiété
- Étaient plus ouvertes d’esprits
- Avaient un sentiment de bien être
Stress réduit
Une étude a montré que les participants au BDSM entrent dans un niveau de conscience altéré similaire à l’expérience des pratiquants de yoga en état méditatif ou au « high du coureur » du marathonien. Il est bien connu que ces activités peuvent être bénéfiques pour la santé en aidant à réduire nos niveaux de cortisol, l’hormone du stress. La participation au BDSM peut avoir les mêmes effets.
Les partenaires dans les rôles dominants ont des niveaux de cortisol réduits après une séance BDSM. Le cortisol est connu comme « l’hormone du stress » et peut être associé à une gamme de problèmes de santé, notamment l’hypertension artérielle, la suppression de l’immunité et la résistance à l’insuline.
Des meilleures relations
Les chercheurs ont également déterminé que la participation à des scènes sadomasochistes réussies augmente le sentiment de connexion et d’intimité avec les partenaires. Bien que les raisons exactes à cela ne soient pas tout à fait claires, des recherches ont montré que faire de nouvelles choses avec des partenaires romantiques, plutôt que les mêmes activités de routine, augmente l’intimité. Des scanners cérébraux de couples mariés ont révélé que le partage de nouvelles activités déclenche le système de récompense du cerveau et l’inonde de dopamine et d’autres produits chimiques de bien être
Comment introduire le BDSM dans une relation ?
Bien souvent, cette culture souffre énormément d’a priori qui font peur à l’idée de la pratiquer. Votre partenaire doit être rassuré quant à cette pratique pour pouvoir l’accepter.
Ensuite, il est important de mettre au clair les scènes que vous voulez faire. En bref, ce que vous voulez utiliser et faire. Vous n’aurez sans doute pas les mêmes envies c’est pourquoi il est important de se parler pour comprendre les envies de chacun.
Lorsque que vous vous sentirez prêt, il y a quelques règles pour garder la valeur du consentement. Mettez vous d’accord sur un mot de secours qui permettra au soumis d’arrêter la scène en cas d’abus. Ce mot est très important pour éviter les débordements et que la personne se sente agressé ou abusé.
Pour finir, s’assurer que l’intégrité physique et mentale de la personne soumise soit bonne est primordial. Toujours privilégier la sécurité de votre partenaire à n’importe quoi d’autre. Ne faites pas d’actions pouvant mettre en péril votre partenaire, le but est de prendre du plaisir pas d’avoir un accident. Vous pouvez aussi découvrir : C’est quoi la domination sexuelle ?
Tout savoir sur l’art du BDSM
En conclusion, le BDSM est une pratique qui mérite et nécessite qu’on s’y intéresse. Elle souffre d’un tabou qui se réduit petit à petit aujourd’hui.
Cette pratique consiste avant tout dans un plaisir particulier avec votre partenaire, l’un soumissent l’autre à ses désirs. C’est une pratique qui confère beaucoup de bienfaits et est aussi une solution pour sortir de sa routine sexuelle et expérimenter de nouvelles choses.
Pour l’introduire dans sa relation, il faut en parler avec votre partenaire et lui faire comprendre réellement en quoi consiste le BDSM. Lors de vos essais, conserver l’intégrité physique et le consentement est la base de la culture BDSM.
Voici donc la fin de cet article, merci de nous avoir lu jusqu’au bout. En espérant vous avoir informé sur le BDSM et vous avoir potentiellement donné envie de vous y lancer.