Chronique borderline : La psychologue canon

psychologue canon

Après plusieurs diagnostics, on m’avait conseillé d’aller voir un psychologue. Pourtant, je n’avais pas de maladie particulière, ni de traumatismes caractéristiques, mais l’envie de me confier et de me sentir proche de quelqu’un devenait de plus en plus évidente. Du coup, je me suis mis à rechercher la personne idéale pour ce projet, et après de nombreuses heures à surfer sur le web, je n’avais toujours pas trouvé mon bonheur. Finalement, c’est un ami à moi qui avait fini par me conseiller une certaine madame Olischenko, une psychologue d’une trentaine d’années d’origine ukrainienne, assez réputée dans son milieu. En me la conseillant, mon ami m’avait dit qu’elle était très agréable, et qu’elle saurait soulager toutes mes mauvaises pensées.

Je décidai donc de la contacter. À l’écoute de sa voix, j’étais déjà en quelque sorte apaisé, et surtout très détendu. Je fus légèrement surpris du fait qu’elle me proposa de caler notre rendez-vous un vendredi soir, mais j’acceptai la proposition, curieux et redoutant légèrement cette rencontre, car elle avait l’air très séduisante et je ne pensais pas, à ce moment, pouvoir me concentrer.

Le vendredi soir arriva rapidement. Je rencontrai, après quelques minutes d’attente, madame Olischenko dans son bureau, situé à une dizaine de minutes de chez moi. Elle était juste sublime, vêtue d’une robe moulante rouge, de talons noirs, une manucure parfaite et du vernis assorti à sa robe. Je ressentis une énorme vague d’excitation lorsqu’elle m’invita à rentrer dans son bureau, puis ferma la porte. Elle m’invita gentiment à m’asseoir sur un sofa, et elle s’assit en face de moi sur un fauteuil. Sa robe, très courte, laissait entrevoir sa lingerie, à savoir un string bleu turquoise. Je l’avais désormais compris, je n’arriverais pas à me concentrer lors de cette séance. Sa tenue, ainsi que le fait qu’elle portait des lunettes tout en croisant les jambes, laissait libre recours à tout type de fantasmes. Lors des dix premières minutes, elle me posa des questions de tout genre, très banales. À chaque fois que je répondais, elle laissait entrevoir un très beau sourire, qui, petit à petit, commençait à me rendre nerveux.

Tout commença à déraper quand elle me proposa, à chaque fois que je confiais l’un de mes problèmes, de se rapprocher de moi. Je me mis alors à raconter certains problèmes comme l’addiction à la codéine et au jeu. Elle se rapprochait à ce moment-là, avançant son fauteuil vers moi, tout en continuant de lâcher des petits sourires coquins. Parfois, elle s’amusait à me taquiner en me demandant de m’ouvrir à elle, de tout lui déballer, parfois avec un ton frivole. Je commençais à avoir une impressionnante érection, et au vu du pantalon moulant que je portais, madame Olischenko risquait rapidement de s’en apercevoir. Et d’ailleurs, je pense qu’elle s’en était déjà aperçue, aux vues des remarques qu’elle me lançait, du type, « vous semblez bien nerveux, monsieur », ou alors « ne soyez pas trop dur ». Ou alors peut-être que c’était juste mon imagination perverse qui me jouait des tours.

Survient le moment fatidique. Madame Olischenko jouait avec moi, je le savais, toutes ses allusions, toutes ses remarques ne pouvaient pas être mises sur le compte du hasard. Je me devais de répliquer pour continuer ce jeu de séduction. Je décidai donc de me lever et, en me dirigeant vers la fenêtre, je déclarai « ça ne vous embête pas si j’ouvre un peu ? Je commence à avoir très chaud ». Ce à quoi la magnifique psychologue répondit « allez-y, je suis moi-même en nage ». Cette dernière réflexion ne manqua pas de me faire sourire. Je commençai à me rendre compte qu’elle était de plus en plus proche de moi, et les questions-réponses s’enchaînèrent avec un rythme haletant.Alors assise juste à côté de moi, la psychologue commença à me toucher la cuisse, ce qui, très normalement, m’excitait fortement. J’ai donc tenté de lui poser également deux trois questions, afin de la détendre un peu. À la vue de cette initiative, elle rougit légèrement et sourit à pleines dents. Je constatai également que sa robe était très recroquevillée, et son string turquoise semblait m’appeler de vive voix.

Pendant qu’elle développait ses réponses, je posai ma main sur sa cuisse, glissant lentement le bout de sa robe vers son bassin, et, à ma surprise, madame Olischenko lâcha un petit gémissement. Appréciant fortement ce moment, elle voulut me sauter dessus, mais je voulais que le jeu dure encore, je l’invitai alors à continuer à répondre à mes questions. Elle transpirait, gémissait et sa respiration s’accélérait tandis qu’elle tentait de répondre. Je voulais passer à la vitesse supérieure, du coup, je posai mes doigts sur son vagin en stimulant le haut. La psychologue était au bord de la rupture, en plus de la chaleur, son corps était brûlant de désir, et elle écartait désormais les jambes. Elle me déshabilla tendrement et inséra mon pénis dans sa bouche, les va-et-vient me faisaient énormément d’effet et je la priai de se retourner pour la pénétrer de la plus belle façon. Nous prenions notre pied, et elle semblait, aux vues de ses couinements, apprécier mes coups de reins. Je finis par lâcher prise au bout d’une dizaine de minutes, pile au moment où sa secrétaire lui annonça la venue d’un nouveau client. « Vous avez le sens du timing » dit-elle en remontant sa robe. Je la saluai, tout en la remerciant, et en évoquant le fait que j’aurai besoin de nouvelles consultations.

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