Chronique borderline : Le mariage de la cousine
Depuis quelque temps, notre mère nous répétait que nous allions assister à un mariage. Il s’agissait de l’union d’une de mes cousines éloignées. Elle venait tout juste d’avoir 27 ans, et elle se mariait avec un homme d’une quarantaine d’années, autant vous dire que dans la famille, les ragots et les critiques pesaient contre cette cousine. Je n’étais absolument pas intéressé par toutes ces histoires, et j’avais autant envie d’aller à ce mariage que de me jeter dans la Seine. J’avais longuement essayé de négocier avec ma mère pour ne pas y aller, d’autant que pas mal de mes potes allaient à une soirée d’anniversaire. Ils y allaient en nombre, et un ami m’avait dit qu’il y aurait plein de filles magnifiques là-bas. Malgré tous mes efforts, mes tentatives restèrent vaines, et je fus obligé de m’y rendre en compagnie de mes petites sœurs.
Nous avions à peu près quarante-cinq minutes de trajet en voiture avant d’arriver. J’étais clairement de mauvaise humeur, mais je gardais néanmoins le sourire pour faire plaisir à ma mère. Arrivant finalement à la fête, je découvris une magnifique maison blanche, il s’agissait d’une sorte de manoir, ma mère rigolait en évoquant le fait que notre cousine n’avait pas fait les choses à moitié. Après de nombreux moments de présentation, vous savez, dans un mariage quand l’un de vos parents reconnaît plein de gens et vous présente. C’est certes un peu gênant, mais quand ma mère nous a présenté à une famille amie, je fus, pour la première fois de la journée, très heureux. La raison à cela était plutôt simple, une magnifique blonde très bien formée faisait partie de cette famille. Nous nous sommes regardés longtemps droit dans les yeux.
En s’éloignant, j’interrogeais ma mère sur la famille que nous venions de saluer. Elle me répondit qu’il s’agissait d’une famille d’amis du marié. Mais je souhaitais à tout prix retrouver cette magnifique blonde. Elle avait un regard incroyable avec des yeux bleus très clairs, j’avais d’ailleurs eu beaucoup de mal à tenir notre petite bataille de regard. Un petit détail m’avait également agréablement surpris, cette fille possédait un petit tatouage juste au-dessus de la poitrine, ce que je trouvais incroyablement sexy. L’heure du repas de noces arriva rapidement et j’espérais secrètement être installé à une table pas loin de la belle blonde, mais je fus déçu quand je la reconnus dans sa robe blanche à l’opposé de ma table, tout au fond de la salle. Je fulminais de rage, car je ne voyais absolument pas comment la séduire tout au long de la soirée si j’étais loin d’elle.
Le repas se déroula tranquillement, la nourriture était de qualité, l’ambiance par ailleurs était au rendez-vous. J’aperçus cette fameuse blonde se lever d’un coup, elle sortit une cigarette et alla dehors pour fumer. Je pensais directement que si elle fumait tranquillement comme cela devant ses parents, c’est qu’elle devait être un minimum âgée, du moins du haut de mes 18 ans, j’étais persuadé d’être plus jeune qu’elle. J’ai décidé de prendre l’air et, en me voyant sortir, elle sourit. Elle était dans un petit coin de la villa, à l’abri des regards indiscrets, comme si elle voulait être tranquille et ne pas être dérangée. Je l’entendis me dire de venir la voir, et à ce moment-là, je commençais réellement à stresser, car elle faisait le premier pas et ça avait le don de me rendre nerveux. Je m’assis finalement à côté d’elle et nous commencions à discuter quand il se mit à pleuvoir.
Nous étions rentrés à l’intérieur et nous avions réussi à trouver un petit coin tranquille pour pouvoir continuer notre conversation. À un moment donné, elle eut envie d’aller aux toilettes, mais me demanda de l’accompagner, ce que je trouvai légèrement étrange. Alors que nous nous dirigions vers les toilettes discrètement, quelqu’un nous aperçut et commença à nous chambrer. Nous décidions donc de nous enfermer à double tour dans l’une des cabines des toilettes, et là, elle commença à m’embrasser fougueusement.
J’étais agréablement surpris, mais la manière dont elle me tenait la joue en m’embrassant était légèrement embarrassante. J’étais quelque peu soumis à sa volonté et elle faisait ce qu’elle voulait de moi tellement j’étais abasourdi par la situation. Elle me fit mettre à quatre pattes juste en-dessous de son vagin pour que je lui lèche, ce que je fis pendant une bonne heure. Elle alternait entre petits cris et gémissements à mon plus grand plaisir, même si à la fin, je n’en pouvais plus.